Encyclopédie holographique

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Encyclopédie holographique
Culture(s)
Ancien / Asgard / Nox / Furling
Type
Base de données

Présentation

Cette encyclopédie holographique fut conçue il y a plusieurs milliers d'années avant la création du programme porte des étoiles par les membres de l'Alliance des Quatre grandes races de la Voie lactée, à savoir les Anciens, les Asgards, les Nox et les Furlings.

Véritable base de données universelle, elle regroupe la collaboration du savoir individuel de ces quatre peuples réunis à travers des représentations holographiques des éléments, et qui serait, d'après le docteur Jackson, la clé du mystère de notre existence.

Elle fut découverte et étudiée par le professeur Ernest Littlefield en 1945, puis par les membres de SG-1, accompagnés de Catherine Langford, une cinquantaine d'années plus tard, au sein d'une citadelle en ruine à la surface de la planète PB2-908.

Fonctionnement

Conçue par les membres de l'Alliance des Quatre races, cette encyclopédie holographique se compose d'un projecteur holographique en forme de dôme de couleur rouge orangé semblable à un DHD et placé sur un piédestal circulaire au centre d'une salle de conférence de la forteresse d'Héliopolis à la surface de la planète PB2-908.

Ainsi, cette pièce, ornée de diverses inscriptions issues de quatre langues différentes, était probablement utilisée comme lieu de rencontre par les chefs représentant chacune des quatre civilisations qui se réunissaient pour échanger leurs connaissances, leurs découvertes, ou signer des alliances à l'image d'une sorte de Nations unies des étoiles.

Véritable encyclopédie universelle, les quatre races extraterrestres établirent un système de langage en réduisant la méthode de communication au plus petit dénominateur commun à toute forme de vie et à toute matière dans l'Univers, leur permettant ainsi de communiquer par le biais de représentations holographiques de 146 éléments de base.

En effet, lorsqu'une personne touche la surface du dôme de cet appareil extraterrestre, celui-ci projette un rayon lumineux de couleur orange qui forme ensuite de multiples éléments holographiques flottants dans les airs. Il est possible de changer la représentation de ces atomes en touchant à nouveau le dispositif, comme si un individu tournait les pages d'un livre.

Bien que l'on ignore si ces éléments forment une série de lettres ou de pictogrammes, le docteur Littlefield fut capable de traduire la nature tridimensionnelle de l'information grâce aux inscriptions placées sur le sol, en mesurant la distance séparant les éléments du milieu, degré proche de zéro à l'intérieur du cercle et la hauteur au-dessus du sol.

Néanmoins, d'après les études menées par les docteurs Jackson et Littlefield, cette encyclopédie abriterait la collaboration du savoir individuel des quatre grandes races de l'Alliance, une sorte de synthèse de la connaissance universelle, qui pourrait être la clé pour comprendre les mystères de notre existence, ou encore le sens de la vie.

Cependant, cette encyclopédie holographique fut probablement détruite dans l'effondrement de la forteresse d'Héliopolis lors d'une violente tempête qui balaya la surface de la planète peu de temps après le passage de l'équipe SG-1 sur ce monde, ne laissant que les notes du docteur Littlefield comme unique témoignage de cette base de données extraterrestre.

À noter que, bien que l'on ignore complètement le matériau utilisé pour la construction de cet appareil, celui-ci est parfaitement capable de résister à un tir de lance serpent sans subir le moindre dommage structurel.

Histoire

Il y a plusieurs milliers avant notre ère, suite à la création d'une alliance entre les quatre peuples les plus avancés de la Voie lactée, à savoir les Anciens, les Asgards, les Nox et les Furlings, ces derniers décidèrent de se réunir à la surface de PB2-908 afin d'échanger leurs découvertes et de partager leurs connaissances, et construisirent alors une encyclopédie holographique basée sur la représentation tridimensionnelle des atomes comme langage universel. Néanmoins, suite à la dissolution de cette alliance, cette base de données fut complètement abandonnée au sein de la citadelle de PB2-908.

Plusieurs millénaires plus tard, ce dispositif fut découvert en 1945 par le professeur Ernest Littlefield au moment où il traversa la porte des étoiles et débarqua au sein de la forteresse abandonnée de PB2-908. Pris au piège sur ce monde désertique pendant plus de 50 ans, le scientifique étudia l'appareil extraterrestre et retranscrivit une partie de ces connaissances dans son carnet de voyage. Néanmoins, malgré les décennies dans cette forteresse, qu'il baptisa Héliopolis, celui-ci fut incapable de déchiffrer la signification des symboles représentés dans cette base de données.

Plusieurs décennies plus tard, en 1997, lorsque les membres de l'équipe SG-1 découvrirent l'existence des premières expériences sur la porte des étoiles effectuées en 1945, le général Hammond autorisa le colonel O'Neill et ses hommes, accompagnés de Catherine Langford, à effectuer une mission d'exploration sur PB2-908 dans le but de retrouver Ernest Littlefield. Ainsi, quelques instants après leur arrivée, l'équipe terrienne retrouva alors le scientifique terrien qui confia plus tard ses notes personnelles décrivant la citadelle d'Héliopolis et ses environs au docteur Jackson.

Cependant, au moment où les membres de SG-1 réalisèrent que le DHD de cette planète était gravement endommagé, le professeur Littlefield conduisit le docteur Jackson, le colonel O'Neill et Catherine Langford à l'intérieur d'une salle comportant en son centre un étrange dispositif extraterrestre. Alors que le scientifique demanda au colonel O'Neill de toucher la surface du dôme de l'appareil, celui-ci projeta un puissant rayon de couleur orangée qui se transforma rapidement en une représentation holographique de plusieurs dizaines d'atomes flottants dans les airs.

Alors que le docteur Jackson supposa que ces éléments devaient être un moyen de communication, le professeur Littlefield précisa que 146 atomes étaient représentés dans ce tableau périodique en trois dimensions, alors que seulement 111 furent découverts par les Terriens en 1997, et 90 en 1945. C'est alors que l'archéologue parvint à la conclusion que les représentants des quatre races étaient parvenus à créer un langage universel afin de partager leurs connaissances scientifiques en réduisant la méthode de communication au plus petit dénominateur commun à toute forme de vie dans l'Univers.

Quelque temps plus tard, le docteur Jackson tenta de filmer les éléments holographiques avec sa caméra, puis comprit que le professeur Littlefield avait traduit la nature tridimensionnelle de l'information grâce aux inscriptions sur le sol. Toutefois, suite à la disparition du DHD dans l'océan, les membres de l'équipe SG-1 décidèrent d'utiliser l'énergie de l'encyclopédie extraterrestre, malgré les protestations du docteur Jackson, dans le but d'activer la porte des étoiles. Cependant, bien que Teal'c utilisa sa lance goa'uld, la décharge énergétique ne parvint pas à endommager l'appareil.

Plus tard, lorsque les membres de l'équipe SG-1 décidèrent d'utiliser la foudre pour recharger la porte des étoiles, le docteur Jackson continua d'étudier cette encyclopédie holographique et de retranscrire les données à l'aide du carnet du professeur Littlefield malgré les risques d'effondrement imminent de la citadelle de PB2-908. Alors qu'un vortex stable fut établi, le docteur Littlefield, puis le colonel O'Neill convainquirent l'archéologue terrien de renoncer aux connaissances contenues dans sa base de données et de traverser la porte des étoiles au plus vite avant la fermeture du vortex.

Cependant, bien que le personnel du SGC tenta de composer à nouveau les coordonnées de PB2-908 quelque temps plus tard, la porte des étoiles refusa de s'activer, suggérant que la forteresse s'était effondrée, et que l'encyclopédie extraterrestre avaient probablement sombré dans l'océan en même temps que la porte d'arrivée. Néanmoins, le capitaine Carter fut capable de scanner le carnet du professeur Littlefield, et l'ensemble de ses notes au sujet de la signification et les origines de la vie furent plus tard étudiées par les scientifiques de la zone 51.

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